Retour de la campagne « Faut qu’on se parle » pour favoriser l’épargne-retraite des femmes
Réalisée à l’hiver 2024 par la firmeLéger pour le compte de la CSF, ÉducÉpargne et l’Institut national de recherche scientifique (INRS), «L’étude sur les revenus à la retraite des Québécoises et Québécois» met en lumière des écarts significatifs: près d’une Québécoise sur trois n'a pas commencé à planifier sa retraite et déclare ne pas avoir de revenus suffisants pour le faire, comparativement à un cinquième des hommes dans la même situation. Quel que soit leur niveau de revenu, les femmes se sentent aussi moins confiantes dans leurs compétences financières par rapport aux hommes. Dans le domaine de l’épargne et des placements, cette disparité se manifeste à hauteur de 33% versus 50%. Ces résultats continuent d’alimenter les discussions dans les médias et les événements spécialisés.
«ÉducÉpargne souhaite aider toutes les personnes, femmes et hommes, à développer leurs réflexes en matière d’épargne-retraite et à les maximiser. Notre partenariat avec la Chambre de la sécurité financière s’est avéré fort précieux pour poursuivre ces objectifs, tant pour cerner de manière rigoureuse l’enjeu de l’épargne-retraite des femmes, que pour rejoindre efficacement le grand public et le sensibiliser à ces questions», souligne Nathalie Bachand, présidente du conseil d’ÉducÉpargne.
Un rôle dans la littératie financière
Comme les membres de la Chambre interviennent directement auprès du public et ont le devoir de bien informer leurs clientes et leurs clients, ils jouent un rôle central dans l’amélioration de la littératie financière. C’est pourquoi la CSF a mis à leur disposition une série d’outils, d’informations et de formations complémentaires leur permettant d’approfondir leur compréhension des enjeux liés à la préparation de la retraite, et ainsi mieux accompagner leurs différentes clientèles. L’encadrement multidisciplinaire exercé par la Chambre permet d’assurer une supervision rigoureuse et cohérente des conseillers en services financiers dans l’ensemble des domaines d’exercice.
«La CSF est fière d’avoir instigué cette campagne. Ce type d’initiative nous permet de contribuer activement à la réflexion collective sur les enjeux financiers qui touchent la population. Grâce à des partenariats comme celui avec ÉducÉpargne, nous faisons avancer à la fois la sensibilisation du public et l’accompagnement offert par nos membres», souligne Daniel Richard, vice-président, relations avec les communautés à la CSF.
Diffusée une première fois à l’automne dernier, la campagne «Faut qu’on se parle» a rejoint un large public avec 3,4millions d’impressions et 469 000vues en intégralité de deux messages vidéo diffusés en ligne. Elle est à nouveau en ligne du 29 avril au 9 juin sur différentes plateformes. Rendez-vous sur fautquonseparle.ca pour en voir le contenu.
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